A la suite des dégâts importants occasionnés sur les semis du casier rizicole de Richard-Toll par les canards et autres oiseaux déprédateurs des semis (oies de Gambie, oies d’Égypte, oies à caroncule, canards siffleurs, barges à queue noire), une conférence a été tenue à Richard-Toll, le 21 octobre 1958 et ses Membres se mirent d'accord sur la nécessité d'envisager un essai sur l'ensemble du casier pour éloigner ces déprédateurs. Les canards et oiseaux déprédateurs des semis n'étant pas classés « calamité publique », et étant consommés par la population tant autochtone qu’européenne, il ne pouvait être question d'employer des méthodes de lutte radicales visant l'extermination de ces espèces. Seules méritaient d'être retenues les méthodes dites répulsives, c’est-à-dire, agissant sur les sens d’animaux.